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GL Events annonce avoir obtenu la concession du Stade de France par l’État pour une durée de 30 ans... |

Le groupe lyonnais spécialisé dans l’événementiel GL Events a annoncé avoir obtenu la concession du Stade de France pour les 30 prochaines années ce lundi 12 mai. Une affirmation pas encore confirmée à cette heure par le ministère de l’Économie et des Sports. © Archive AFP / Robert Graham
Le groupe lyonnais GL Events a annoncé ce lundi 12 mai « avoir été désigné attributaire » par l’État de la concession d’exploitation du Stade de France pour une durée de 30 ans après des mois de procédure, selon un communiqué. GL Events prendra les clés de l’enceinte située en Seine-Saint-Denis le 5 août. Joint par l’AFP au cours de la soirée, l’État n’avait pas encore confirmé cette affirmation de son côté.
La fin d’un feuilleton qui durait depuis plusieurs mois ? Le groupe lyonnais GL Events a annoncé ce lundi 12 mai « avoir été désigné attributaire » par l’État de la concession d’exploitation du Stade de France pour une durée de 30 ans après des mois de procédure, selon un communiqué.
Préféré à l’actuel concessionnaire Vinci-Bouygues, en place depuis 1995, GL Events prendra les clés de l’enceinte située en Seine-Saint-Denis le 5 août. Il faudra avant formellement qu’il signe le contrat de concession avec l’État français.
Une affirmation pas encore confirmée par l’État
Joints par l’AFP, Bercy et le ministère des Sports n’avaient pas encore confirmé. « Les équipes GL Events qui organisent et accueillent des évènements internationaux sportifs et culturels de grande envergure seront prêtes pour les premiers concerts du mois d’août 2025 au Stade de France », a assuré le groupe d’évènementiel dirigé par Olivier Ginon alors que la procédure a traîné en longueur.
Le consortium actuel, écarté mi-décembre, au profit de GL Events avait formé des recours administratifs pour contester la procédure. Son recours devant le tribunal administratif de Montreuil (Seine-Saint-Denis, nord de Paris) puis devant le Conseil d’État, la plus haute juridiction administrative française, avait été rejeté.