PSG - Chelsea. Cole Palmer a « écrasé Paris sans effort » : la presse salue la performance du joueur

C’est un petit coup de tonnerre sur la planète football. Vainqueur haut la main de la ligue des champions, le Paris Saint-Germain arrivait en favori pour la finale de la coupe du monde des clubs face à Chelsea. Les coéquipiers de Vitinha avaient notamment éliminé le Bayern Munich en quart de finale et avaient infligé une défaite historique au Real Madrid en demi-finale. Mais Chelsea avait un plan, qui s’est déroulé à merveille.

Cole Palmer, la superstar

Cole Palmer a fait l’unanimité durant cette finale. The Guardian salue un « spectacle époustouflant » de la part du numéro 10 de Chelsea. Auteur de deux buts, quasiment identique, et d’une passe décisive, Cole Palmer a survolé la rencontre.

L’Anglais a par ailleurs été élu meilleur joueur du tournoi. Le quotidien Anglais écrit : « Cole Palmer s’est propulsé au rang de superstar mondiale en écrasant le PSG presque sans effort. Il a flâné sur le terrain d’un MetLife Stadium médusé, comme s’il jouait avec ses potes au foot. »

The Athletic se montre dithyrambique envers le leader technique de Chelsea : « Cole Palmer a inspiré Chelsea à une victoire étonnamment dominant. »

« Le plus grand mérite revient à Enzo Maresca », lit-on dans les colonnes de The Athletic , qui n’oublie pas l’approche tactique parfaite du coach Italien des Blues.

« La bagarre fut servie »

En Europe, on ne s’attendait pas vraiment à voir Chelsea surclasser le PSG. Le quotidien espagnol Marca titre « Surprise ! » en une de son journal. En Allemagne, Bild Sport évoque la rencontre comme « la pire performance du PSG cette saison ». En Italie, la Gazetta dello sport est revenue sur l’incident d’après-match avec les gestes d’humeur de Luis Enrique et de Gigio Donnarumma : « Une célébration provocatrice, une défaite frustrante, et la bagarre fut servie. »

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On y apprend ce que dit Enzo Maresca au gardien du PSG pour calmer la situation : « Tu as tout gagné cette année Gigio. »

Le quotidien Italien dresse le récit de cette fin de match chaotique : « Les deux hommes se clarifient et s’embrassent. Entre-temps, une seconde bagarre éclate, mais le nombre de ceux qui tentent de rétablir le calme sur le terrain a également augmenté. Maresca rassemble ses joueurs un par un, les repousse et leur dit de s’éloigner, de simplement célébrer. Il les bouscule littéralement, rappelant également qu’il est le maître à Chelsea et qu’il serait stupide de gâcher un tel succès. »

Finalement, l’étonnement de la presse européenne sur la performance du PSG démontre l’envergure qu’a pris le club sur ces derniers mois.