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PSG - Flamengo. « Pas près d’oublier ce nom » : la presse internationale unanime sur Matveï Safonov... |
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Matveï Safonov a été décisif avec le PSG. © JOSE BRETON/NurPhoto via AFP
Le PSG a remporté la Coupe intercontinentale (1-1, puis 2-1 tab) contre Flamengo, mercredi 17 décembre. La presse, en France comme à l’étranger, loue le rôle déterminant de Matveï Safonov.
Dans les finales, certains joueurs se révèlent. Matveï Safonov en sait quelque chose, puisqu’il a permis au PSG de s’imposer en finale de la Coupe intercontinentale face à Flamengo (1-1, puis 2-1 tab). Un tsar est né
, s’amuse à écrire L’Équipe, pour qui la prestation du Russe est légendaire
. Il y a peu de chances que les plus jeunes oublient que le football français et le PSG ont remporté la première finale Intercontinentale de leur histoire, grâce aux quatre arrêts d’affilée de Matveï Safonov.
« Plus grand qu’Akinfeev »
Luis Enrique, l’entraîneur du PSG avait choisi de titulariser l’habituel gardien remplaçant, plutôt qu’un Lucas Chevalier décevant globalement depuis son arrivée à Paris. Bien lui en a pris, car Safonov, qui réclamait du temps de jeu, a répondu présent. Le résultat lui donne raison (à Luis Enrique). S’il a passé un match très tranquille, avec un seul arrêt à effectuer, Matvey Safonov s’est surtout illustré lors de la séance de tirs au but
, indique Le Parisien. La guerre des goals
est lancée entre Safonov et Chevalier, alors que l’ancien Lillois est le seul joueur du PSG, avec l’Ukrainien Illia Zabarnyi, à ne pas s’être précipité sur le Russe à la fin du match.
Véritable bourreau du club de Rio de Janeiro, la presse brésilienne est sous le charme. Les supporters de Flamengo ne sont pas près d’oublier ce nom
, selon Placar, un journal sportif brésilien. En Russie aussi, Safonov suscite l’admiration. Il est désormais plus grand qu’Akinfeev
, affirme Sovietski Sport, un quotidien sportif, qui ose comparer l’ancien joueur de Krasnodar à l’une des légendes du football soviétique.
Ce sacre en Coupe intercontinentale permet au PSG de remporter un sixième trophée dans une année 2025 historique. Avant cela, il y avait eu la Ligue des champions, la Coupe de France, le Trophée des champions et la Supercoupe d’Europe. La plupart de ces gamins-là n’ont pas encore 25 ans, mais en un an, ils ont tout gagné
, note L’Équipe.